Après une
licence d'histoire de l'Art , elle est diplômée de beaux-arts , puis de
Gobeleins . Sa passion pour l'image l'a fait s'intéresser à
l'architecture , beaux-arts ... et à la gastronomie !
Ce qui distingue Caroline Faccioli , s'est une curiosité sans limite , sans doute la raison par laquelle, après dix années consarées à la photographie culinaire , elle a senti une envie gourmande de voir s'animer ses images pour raconter des histoires gustatives.
Le premier festival des arts culinaires " A Voir et A Manger " a eu lieu à Paris au Centquatre jusqu'au 18 mars. Le festival conviait à bousculer nos repères visuels, sonores, gustatifs, olfactifs et tactiles : un véritablement bouleversement des sens, aussi ludique que gourmand .
Voilà "ALIMATION" d'Alexandre Dubosc que l'on a pu regarder au festival
À lire
Présentation "Jeux de bouche" d'Alexandre Dubosc extraite du Site du festival
"Alexandre Dubosc explore les limites d’une fascination "alimentaire" à travers l’image et les mots. Ludiques et gourmandes, ses créations installent un jeu entre le spectateur et les objets intimes et si familiers de notre réfrigérateur. Ceux-ci inspirent ses photographies "gastronomicohumoristiques", ses films d’animation et ses sculptures originales. En détournant la nourriture de son utilité première, on peut se régaler en regardant celle-ci comme un objet design, un objet de sourire"
Les secrets d'un grand chef, l'intimité d'un homme. Toque trois fois étoilée, directeur du Grand Véfour à Paris, Guy Martin a été sacré meilleur cuisinier d'Europe et meilleur chef du XXIe siècle au Japon et en Suisse.
L'homme étonne, le chef détonne : fidèle à ses racines savoyardes et curieux des cultures lointaines, fou de peinture et de musique, à la fois résolument classique et farouchement créatif.
Pour la première fois, cet inclassable de la cuisine française a accepté de laisser une équipe de tournage le suivre, pas à pas, en se fiant à sa devise : « Travailler sur l'inconscient, ne pas tout calculer, laisser les choses venir et voyager léger. »
Entrez dans "Le Grand Befour" , le restaurant parisien dirigé par ce ce grand chef de la cuisine française
Documentaire disponible en rediffusion jusqu'au 09/07/2025
Des fourneaux français à la mondialisation de la gastronomie, un succulent portrait d’Auguste Escoffier, chef visionnaire qui a révolutionné l’art culinaire au tournant du XXe siècle.
Il se rêvait sculpteur, il a hissé la gastronomie au rang des beaux-arts, maître aujourd’hui encore adulé par une légion d’héritiers à travers le monde. Né à Villeneuve-Loubet en 1846, Auguste Escoffier fait ses classes à Nice chez un oncle restaurateur. À 19 ans, le jeune Provençal monte à Paris, capitale hédoniste du Second Empire, et grimpe bientôt tous les échelons au Petit Moulin Rouge où il débute comme commis. Le jeune chef visionnaire va alors allier progrès technique et art culinaire raffiné pour révolutionner les plaisirs de la table. Ce manager avant l’heure rationnalise le métier, des fourneaux aux lumières, allège les plats – des recettes inspirées devenues signatures – et dresse les assiettes comme des tableaux. Une œuvre que cet amateur de "mets et de mots" consigne dans des livres devenus cultes, dont son fameux Guide culinaire (1903) pour des générations de chefs. Avec son complice César Ritz, ce perfectionniste imagine aussi le concept du palace, entre luxe et terroir, du Savoy au Carlton en passant par le Ritz, où se croisent têtes couronnées et artistes − dont son amie Sarah Bernhardt −, l’aristocratie déclinante et la haute bourgeoisie en plein essor. Première star de la gastronomie, Auguste Escoffier conquiert enfin l’Amérique, anticipant la mondialisation.
Épopée gourmande
Des fastes du Second Empire aux prémices de la Seconde Guerre mondiale, ce documentaire, qui entrelace archives et scènes de fiction, retrace l’épopée d’Auguste Escoffier, référence absolue qui hante encore les cuisines contemporaines. Nourri des éclairages passionnés de ses disciples − Thierry Marx, Yves Camdeborde, Michel Roth… −, d’historiens et de critiques gastronomiques, un portrait formidablement documenté du "roi des cuisiniers et cuisinier des rois", qui offrit légitimité et respectabilité à ses pairs, en même temps qu’une plongée savante et gourmande dans un temps de grands bouleversements.
Auguste Escoffier ou la naissance de la gastronomie moderne
L'Aile ou la Cuisse est un film français de Claude Zidi sorti en 1976.
Cette comédie est l'unique rencontre entre Louis de Funès, de retour au cinéma après avoir subi un double-infarctus, et Coluche, alors en pleine ascension.
Le film traite sur le mode comique d'un problème naissant dans la France des années 1970 : la malbouffe due à la nourriture industrielle
l'histoire montre la rivalité entre la " gastronomie française traditionnelle et de qualité ", ici défendue par Charles Duchemin, directeur du guide Duchemin (rappelant évidemment le guide Michelin, qui récompense les restaurants de qualité), et la nourriture industrielle, dont le fer de lance est Jacques Tricatel (caricature à peine cachée de l'industriel Jacques Borel).
Charles Duchemin, directeur d'un guide gastronomique mondialement connu et qui a l'habitude de tester incognito les restaurants de l'Hexagone, vient d'être élu à l'Académie française. Fervent défenseur d'une gastronomie française
traditionnelle et de qualité, Duchemin s'apprête pourtant à prendre sa
retraite après la parution de la nouvelle édition de son guide et forme
son fils Gérard à cette fin, dans l'espoir qu'il reprenne un jour le
flambeau. Gérard goûte cependant peu les passions de son père et
s'efforce d'animer en secret une petite troupe de cirque.
Quelques jours avant la parution du nouveau guide, Duchemin apprend que l'industriel Jacques Tricatel, PDG d'une chaîne de restauration de nourriture industrielle,
compte racheter un certain nombre de restaurants auxquels le guide
devait décerner des récompenses. Pire encore, Tricatel semble déterminé à
ternir la réputation de Duchemin en le ridiculisant publiquement au
cours d'une émission de télévision.
Bien décidé à défendre ses valeurs, Duchemin va embarquer Gérard contre son gré, dans une ultime croisade contre la malbouffe