Affichage des articles dont le libellé est Chefs français. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est Chefs français. Afficher tous les articles

La cuisine française avec Guy Martin ( sous-titres )


Le 23 septembre 2016, Guy Martin, chef cuisinier du restaurant "Le Grand Véfour" à Paris, était l'invité de l'émission "7 jours sur la planète". Il revient sur le thème de la semaine de la gastronomie française 2016 à savoir la cuisine populaire et nous explique ensuite les raisons du succès de la cuisine française.

À propos du Chef

Regardez dans le blog

Film : Guy Martin , un artiste en cuisine

Les 5 obsessions d'Alain Ducasse

 

Le chef le plus étoilé du monde nous livre ses obsessions

 

L'hospitalité

« Bien recevoir est tout un art. Et cet art est porté au plus haut point lorsque l'aubergiste façonne sa demeure à son image. Il n'y a rien de comparable à ces auberges de campagne qui sont des lieux habités. Son séjour devient une expérience inoubliable ».

La nature

« Pour le cuisinier, c'est une source inépuisable d'inspiration - en fait, la source. Mon émerveillement est sans fin. Tout me ravit de la couleur d'une aubergine au chatoiement des écailles d'un rouget de roche ».

L'essentiel

« Enlever tout ce qui est inutile. Les ingrédients trop nombreux qui apportent de la confusion dans les goûts. Les objets qui encombrent la table. Les excès du cérémonial. Arriver enfin à l'essentiel : le vrai goût, la vraie texture, la vraie couleur ».

Juste

« Le geste juste. La juste cuisson.Le juste assaisonnement.On s'en rapproche peu à peu, grâce à une grande discipline et un long entrainement. Sans doute, les artistes poursuivent-ils une quête semblable. Pour un cuisinier, en tout cas, c'est une obsession de tous les instants ».

Le partage

« On s'enrichit en partageant. Il ne faut rien garder pour soi. Le temps des recettes secrètes et des tours de main cachés est fini depuis longtemps. Je partage tout ce que je sais et je veux que tout le monde, dans mon équipe, fasse de même ».
Source : extrait d'un article publié sur Le Nouvel Observateur
Alain Ducase dans le blog  par ici et aussi par

La table de l'Élysée, un patrimoine national

En 2010,  le repas gastronomique des Français » était inscrit au patrimoine culturel immatériel de l’humanité par l’Unesco. Un repas dont le formalisme remonte en partie au 17e s. : le mariage des mets et des vins, la succession des plats, l’art de dresser une table…

S’il est un endroit où cet art de la table à la française est représenté avec faste, c’est bien le palais de Élysée.

https://vimeo.com/70695621

Cliquez sur l'image pour regarder la vidéo sur Vimeo


À lire :

Le repas gastronomique au service de l’État

" Laisser du temps au temps " : Bernard Vaussion, le chef des cuisines de l’Elysée, ne démentirait sans doute pas la fameuse formule mitterrandienne. Entré comme simple commis sous le mandat du président Pompidou, ce Solognot a gravi tous les échelons pour devenir chef des cuisines de l’Élysée en 2004. Trente-neuf ans de bons et loyaux services ; le ton est posé, courtois, affable, l’atmosphère feutrée, aux antipodes de l’hystérie qui règne dans certaines brigades. Autre particularité de la maison, la proximité des grands de ce monde rend modeste et incline à la retenue. Vous ne tirerez pas la moindre confidence ou anecdote croustillante de celui qui a comblé les appétits de Giscard d’Estaing, Mitterrand, Chirac et Sarkozy. Service oblige, Bernard Vaussion tiendra la barre jusqu’à la prochaine élection, et s’il songe à prendre bientôt sa retraite, la relève est assurée en la personne de son brillant second Guillaume Gomez, meilleur ouvrier de France.

Si l’on privilégiait autrefois les pièces de bœuf ou de veau braisé, servies entières sur la table de De Gaulle ou de Pompidou, dans la tradition d’Auguste Escoffier, la cuisine de la présidence est désormais en phase avec ce qui se pratique dans les grands établissements étoilés. VGE, adepte du « changement dans la continuité » et très au fait des dernières tendances culinaires de son époque, fut le premier à jeter une passerelle entre les grands restaurants étoilés et l’Élysée en y introduisant la nouvelle cuisine. De nos jours, Bernard Vaussion dialogue régulièrement avec les grands chefs, à commencer par ses voisins, Jean-François Piège quand il était au Crillon, et Éric Fréchon au Bristol (restaurant L'Épicure), dont Nicolas Sarkozy apprécie particulièrement la cuisine.

Sous Mac-Mahon, un dîner d’État comptait quinze à vingt plats servis en trois ou quatre heures. De Gaulle, plus expéditif, en avait drastiquement réduit le nombre à cinq, qui s’enchaînaient en une heure quarante. Avec le président Sarkozy, le repas s’allège et le temps s’accélère : entrée, plat, dessert (exit le fromage), le tout en 55 minutes ou 1h30, selon le contexte. Entrées et desserts sont proposés à l’assiette, mais le plat principal continue à être présenté à la française au convive, qui se sert lui-même.

La table de l’Élysée, Un patrimoine vivant

Ce qui frappe au premier abord dans les 500 m2 de cuisine installés dans les anciennes écuries de la garde républicaine, c’est la batterie de cuivres rutilants : casseroles, moules, marmites… Ils proviennent des Tuileries, de Fontainebleau, de Compiègne, de Saint-Cloud, et on y concoctait l’ordinaire de Louis-Philippe et de Napoléon III. Mais ils ne sont pas accrochés là pour la décoration ; « nous les utilisons au quotidien », nous confie Bernard Vaussion.

Malgré les révolutions, pas de politique de la table rase, mais au contraire le choix de la continuité et de la transmission : Mac-Mahon s’invite à la table de Louis-Philippe, Carnot et Pompidou à celle de Napoléon III. La vaisselle est de Sèvres, comme il se doit dans une maison ayant appartenu à la marquise de Pompadour*, et là encore, elle sert tous les jours.

Chaque pièce est estampillée, datée, comme ces assiettes du service Capraire dont les plus anciennes datent de 1826. Des informations qui révèlent le souci constant de chaque président d’investir sur le long terme et d’enrichir ce patrimoine. Il peut ainsi s’écouler plusieurs mandats entre la création d’une pièce et son état définitif. Par exemple, alors que le service aux Oiseaux a été créé en 1858, la tasse à café n’a été fabriquée qu’en 1911 et il a fallu attendre 1926 pour qu’elle soit enrichie d’une dorure. Ou encore cette tasse à thé de 1866 qui n’aura sa sous-tasse qu’en 1895 et ne sera dorée qu’en 1899. C’est un peu comme si Armand Fallières passait les plats à Poincaré (rappelons en cette période électorale que ce brave président Fallières, refusant de briguer un second mandat, avait déclaré : « La place n’est pas mauvaise, mais il n’y a pas d’avancement. »). Dernière création en date, le service Constellation, conçu par Philippe Favier à la demande de Bernadette Chirac à l’occasion du Millénaire.

Lorsqu’une pièce est abîmée, là encore pas de précipitation : elle est renvoyée à Sèvres pour réparation et ne revient que deux ou trois ans plus tard. Chaque pièce est unique et peinte à la main : compter 80 heures de travail pour une assiette du service aux Oiseaux et entre 3 000 et 6 000 € pièce. Il en va de même des verres Baccarat, qui sont expédiés à la cristallerie pour réparation dès qu’ils sont ébréchés ou fêlés.

Six argentiers prennent soin de la vaisselle et des couverts en argent massif signés Puiforcat et Christofle. Pour dresser les tables, ils choisissent les services avec l’intendant, les lingères et le chef en fonction du menu, de l’invité… et de la fragilité. On sert plutôt le plat principal dans le service Capraire, tandis que celui aux Oiseaux, plus délicat, est réservé aux desserts. Une vaisselle au décor très riche qui pose parfois problème aux cuisiniers pour la présentation de l’assiette.

Dresser une table comme à l’Élysée

S’il vous prenait fantaisie de dresser une table comme à l’Élysée, voici quelques conseils.
  • Poser les assiettes à un doigt du bord de la table.
  • Les fourchettes sont retournées dents contre table de façon à exposer le chiffre RF (République française), contrairement à Buckingham où les armoiries de la couronne d’Angleterre sont gravées de l’autre côté.
  • Signe particulier, on dispose les verres en triangle ou en losange, selon que l’on sert le champagne à table ou non. Le verre à vin blanc est placé au centre, trois doigts au-dessus de l’assiette ; le verre à vin rouge à droite ; le verre à eau à gauche ; la flûte à champagne au-dessus dans l’alignement du verre à vin blanc, terminant ainsi le losange.

Philippe Mille , Meilleur ouvrier de France 2011


A 37 ans, le chef étoilé des Crayères, Philippe Mille a été sacré Meilleur ouvrier de France. Pour sa première participation au concours du MOF qui se déroulait à Marseille, il a remporté le titre grâce à un turban de haddock soufflé aux œufs frits, une déclinaison d'agneau et une pâtisserie aux fraises rôties.

Voilà comment Philippe Mille caractérise sa cuisine



« Je suis un cuisinier classique. Je fais une cuisine lisible. Je ne suis pas un fan de l'architecture d'un plat. Je respecte le bon produit, comme un intermédiaire entre le travail du producteur et le plaisir du client. Mettre un produit en évidence, sans jamais le dénaturer. Je ne me cache pas derrière une émulsion ou un brin de salade posé là pour faire beau ».

Visitez Château Les Crayères à Reims : http://www.lescrayeres.com/

Film: "Guy Martin , Un artiste en Cuisine"

Un film de Lionel Boisseau

Résumé:

Les secrets d'un grand chef, l'intimité d'un homme. Toque trois fois étoilée, directeur du Grand Véfour à Paris, Guy Martin a été sacré meilleur cuisinier d'Europe et meilleur chef du XXIe siècle au Japon et en Suisse.
L'homme étonne, le chef détonne : fidèle à ses racines savoyardes et curieux des cultures lointaines, fou de peinture et de musique, à la fois résolument classique et farouchement créatif.
Pour la première fois, cet inclassable de la cuisine française a accepté de laisser une équipe de tournage le suivre, pas à pas, en se fiant à sa devise : « Travailler sur l'inconscient, ne pas tout calculer, laisser les choses venir et voyager léger. » 

Entrez dans "Le Grand Befour" , le restaurant parisien dirigé par ce ce grand chef de la cuisine française

Auguste Escoiffer ou la naissance de la gastronomie moderne

 Documentaire disponible en rediffusion jusqu'au 09/07/2025

Des fourneaux français à la mondialisation de la gastronomie, un succulent portrait d’Auguste Escoffier, chef visionnaire qui a révolutionné l’art culinaire au tournant du XXe siècle.  

Il se rêvait sculpteur, il a hissé la gastronomie au rang des beaux-arts, maître aujourd’hui encore adulé par une légion d’héritiers à travers le monde. Né à Villeneuve-Loubet en 1846, Auguste Escoffier fait ses classes à Nice chez un oncle restaurateur. À 19 ans, le jeune Provençal monte à Paris, capitale hédoniste du Second Empire, et grimpe bientôt tous les échelons au Petit Moulin Rouge où il débute comme commis. Le jeune chef visionnaire va alors allier progrès technique et art culinaire raffiné pour révolutionner les plaisirs de la table. Ce manager avant l’heure rationnalise le métier, des fourneaux aux lumières, allège les plats – des recettes inspirées devenues signatures – et dresse les assiettes comme des tableaux. Une œuvre que cet amateur de "mets et de mots" consigne dans des livres devenus cultes, dont son fameux Guide culinaire (1903) pour des générations de chefs. Avec son complice César Ritz, ce perfectionniste imagine aussi le concept du palace, entre luxe et terroir, du Savoy au Carlton en passant par le Ritz, où se croisent têtes couronnées et artistes − dont son amie Sarah Bernhardt −, l’aristocratie déclinante et la haute bourgeoisie en plein essor. Première star de la gastronomie, Auguste Escoffier conquiert enfin l’Amérique, anticipant la mondialisation.

Épopée gourmande 

Des fastes du Second Empire aux prémices de la Seconde Guerre mondiale, ce documentaire, qui entrelace archives et scènes de fiction, retrace l’épopée d’Auguste Escoffier, référence absolue qui hante encore les cuisines contemporaines. Nourri des éclairages passionnés de ses disciples − Thierry Marx, Yves Camdeborde, Michel Roth… −, d’historiens et de critiques gastronomiques, un portrait formidablement documenté du "roi des cuisiniers et cuisinier des rois", qui offrit légitimité et respectabilité à ses pairs, en même temps qu’une plongée savante et gourmande dans un temps de grands bouleversements. 

 Auguste Escoffier ou la naissance de la gastronomie moderne

 Documentaire d'Olivier Julien (France, 2019, 1h31mn)  

#gastronomie #documentaire  

Auguste Escoffier ou la naissance de la gastronomie moderne Arte

 

Pierre Hermé : pâtissier (reportage + fiche pédagogique FOS A2 / B1)

Pierre Hermé est le chef de file des pâtissiers français actuels. Ses gâteaux sont des combinaisons de gouts et de textures propres à faire naître des émotions inédites.


Regardez le reportage où Pierre Hermé parle de sa façon de travailler en pâtisserie sur Mains et Merveilles . Cette émission a été diffusée sur TV5Monde qui l'adaptait pour apprendre le français .

Les exercices ne sont pas en ligne maintenant , mais j'ai retrouvé sur le web la fiche pédagogique (PDF) destinée à un public FOS Niveaux A2-B1 .

Si vous voulez essayer de travailler ce reportage , la fiche pédagogique PDF destinée aux apprenants et aux enseignants à télécharger sur Yumpu par ici

Ci-dessous aperçu de la première page de fiche pédagogique

Pierre-Dominique Cécillon



Pierre-Dominique Cécillon, Chef au Paris Country Club, nous explique son parcours, sa cuisine, sa vision du Paris Country Club. Un chef atypique aux différentes casquettes qui a toujours aimé partager son savoir.

Parmi vos nombreuses expériences passées, quelles ont été vos aventures les plus marquantes, les Chefs qui vous ont le plus marqué ?

Il y eut beaucoup d’aventures et de rencontres au cours de ma carrière. Tout d’abord, mon apprentissage de pâtisserie vers Poitiers.

Par la suite, à mon arrivée à Paris, j’ai intégré la très grande brigade des Wagons lits d’Orly, il n’y avait alors que le Bourget et Orly comme aéroports.

Après avoir fait mes gammes, j’ai été le sous-chef de Joël Robuchon au Concorde Lafayette puis après à l’hôtel Nikko.

J’ai ensuite pris la place de Chef au Prince de Galles pendant 21 ans, un véritable challenge pour moi.

Je ne peux pas parler de mes expériences de Chef sans évoquer ces 7 années plus que formidable à l’Académie des Cinq Sens, « une école de cuisine pour enfants adaptée aux adultes ».

Puis il y a eu l’aventure Paris Country Club où j’étais déjà consultant notamment sur la prise en main des cuisines, le séminaire. Aujourd’hui, nous avons en perspective, l’ouverture du Renaissance Marriott, un hôtel de 110 chambres avec des cuisines qui regrouperaient la totalité de la production pour la partie hôtel et restaurant, mais aussi pour les séminaires au Manoir du Paris Country Club

Quelles orientations donnez-vous à votre cuisine ?

Elle est résolument influencée par la cuisine méditerranéenne, de tous les horizons.

Pourquoi avez-vous choisi ce beau manoir du Paris Country Club pour exercer vos talents ?

Travailler au Manoir du Paris Country Club offre une qualité de vie très agréable. On a vraiment l’opportunité de pouvoir s’exprimer pleinement.

(...) 

http://www.idealgourmet.fr/
http://www.idealgourmet.fr/pierre-dominique-cecillon-fr_p.html

François Adamski

Originaire du Pas-De-Calais, il fait ses études au Lycée hôtelier du Touquet puis il part à l’hôtel Matignon, rue de Varenne, durant une année.
Il officie dans d’illustres établissements parisiens où il gravie les échelons un à un : le Plaza Athénée, l’Hôtel Ritz, la maison Prunier et l’hôtel Intercontinental.

Passionné, ambitieux, il aime le travail bien fait et il prépare de nombreux concours. Après le Bocuse d’Or en 2001, il est élu Meilleur Ouvrier de France en 2007, devenant ainsi avec Michel Roth, le deuxième chef en activité au monde à avoir obtenu les deux prestigieuses distinctions.

Il est également Membre de l’Académie Nationale de Cuisine, Membre de l’Académie des Lauréats du Bocuse d’Or, Maître Cuisinier de France et membre du club Prosper Montagné.

Écoutez François Adamski , Chef cuisinier du restaurant Le Gabriel à Bordaux



Découvrez le restaurant gastronomique Le Gabriel
Visitez le site http://adamski.bordeaux-gabriel.fr/

Alain Ducasse



Originaire des Landes, Alain Ducasse est un des chefs les plus célèbres de sa génération. Signe particulier, il est aujourd’hui à la tête de trois restaurants triplement étoilés à Monaco, Paris et Londres.

Chef de cuisine, créateur de restaurants, aubergiste et formateur, Alain Ducasse a développé en trente ans un savoir-faire unique qui s’exprime à travers de nombreuses activités dans les univers de l’art du bien vivre et du bien manger contemporains.


Chef aux créations originales, il apporte son savoir-faire, soucieux de la qualité accordée à chaque détail et de la grande précision des techniques utilisées. La volonté de transmettre est au cœur de tous ses projets. Alain Ducasse aime former et animer des équipes qui interprètent sa partition au meilleur niveau.

Dans la conduite de son métier, il a sans cesse à cœur le partage d'une passion et la transmission du savoir. Son insatiable curiosité lui permet de s’imprégner de la diversité du monde et de sa richesse culturelle.

Source informations :

On va déguster ( France Inter )


Alain Ducasse en quelques dates 

1956
Naissance à Castel Sarrazin dans une ferme landaise.

1972
Début de l’apprentissage et d’une série de rencontres fondamentales avec des sommités de la cuisine française : Michel Guérard, Roger Vergé et Alain Chapel.

1990
 "Le Louis XV " à Monaco, est le premier restaurant d’hôtel à être récompensé des 3 étoiles du guide rouge. Alain Ducasse, chef des cuisines, a 33 ans et « Le Louis XV » est ouvert depuis 33 mois.

1995
Ouverture de " La Bastide de Moustiers ", une auberge en Provence où Alain Ducasse aime se ressourcer.

1998
Ouverture du premier concept de restaurant créé par Alain Ducasse : "Spoon, Food & Wine" à Paris. Le Spoon se décline ensuite à l’Ile Maurice-Spoon, Saint Tropez et Hong Kong.

1999
Sortie du premier « Grand Livre de Cuisine » permettant de transmettre son savoir au grand public.

2000
Alain Ducasse s’installe au Plaza Athénée.

2003
Alain Ducasse initie l’opération Food France pour faire découvrir les jeunes talents de la cuisine française

2005
Consacré premier chef triplement trois-étoilés au guide Michelin pour ses restaurants de Paris, Monaco et New-York.

2007
Ouverture du restaurant Le Jules Verne par Alain Ducasse sur la Tour Eiffel.

2010
Consacré à nouveau chef triplement trois-étoilés au guide Michelin pour ses restaurants de Paris, Monaco et Londres.

2011
Alain Ducasse réalise le dîner servi lors du mariage du Prince Albert II et de Charlène Wittstock.
Lancement du Collège Culinaire de France, association destinée à promouvoir et transmettre les valeurs de la gastronomie française.

2012
Alain Ducasse a célébré25 ans de création culinaire au restaurant Le Louis XV entouré de 240 chefs de 25 pays.
Trois jours exceptionnels de partage des savoirs, de découvertes et d’évènements originaux, avec en clôture un dîner de gala.

2013
Alain Ducasse s'installe à l'hôtel le Meurice et renouvelle le regard posé sur la haute cuisine.

La vidéo de son  livre - "Nature, simple, sain et bon"  
 


  Alain Ducasse au Plaza Athénée : Le Goût de l'Essentiel
 



Site officiel d'Alain Ducasse à Paris

Paul Bocuse


Paul Bocuse (né à Collonges-au-Mont-d'Or le 11 février 1926) est un grand chef cuisinier français (Trois étoiles au Guide Michelin depuis 1965) et désigné « Cuisinier du Siècle » par Gault-Millau et « Pape de la cuisine » en 1989. Il dirige plusieurs restaurants à Collonges-au-Mont-d'Or et à Lyon. ( ... )
Continuez à lire sur Wikipédia.fr : Paul Bocuse

Visitez le site officiel de Paul Bocuse

Bonne lecture et bonne découverte !