2 œufs entiers, 25 cl de lait entier, 100 g de farine tamisée, 10 g de beurre fondu, 1/2 gousse de vanille , 1 cuill. à café de sel fin, 3 cuill. à soupe de sucre semoule.
Préparation:
1. Cassez les œufs dans un saladier et fouettez-les bien.
2. Ajoutez le lait dans le saladier en continuant de battre, puis versez la farine tamisée en pluie fine. Fouettez le mélange énergiquement pour éviter la formation de grumeaux.
3. Versez dans le saladier le beurre fondu en mélangeant bien.
4. Coupez la gousse de vanille en deux pour en extraire les graines. Incorporez celles-ci dans la pâte.
5. Ajoutez le sel et le sucre en mélangeant bien dans la pâte.
6. Laissez reposer la pâte au moins 30 minutes à température ambiante avant de faire cuire les crêpes.
"Le sommet international de la gastronomie fusion, qui s’est tenu le jeudi 28 janvier 2011 à Madrid, a communiqué une liste des 20 cuisiniers les plus influents au monde. Parmi cette liste, les espagnols sont en tête, suivi des français, des japonais et des américains." (...)
La vénérable « maison de luxe » des mets alimentaires attire les gastronomes du monde entier.
Depuis 1886, date de sa fondation, Fauchon est l’une des références du luxe alimentaire et de l’épicerie fine en France.
Mais cette institution plébiscitée par les gastronomes ne propose pas qu’une délicieuse cuisine maison qui met l’accent sur le raffinement. On y déguste aussi pâtisseries, viennoiseries, chocolats et autres douceurs, sans oublier des produits de luxe tels le caviar ou le saumon.
Boulangerie, traiteur… Les rayons sont organisés par pôles. Pour chacun d’entre eux, un « chef » vous oriente, vous conseille et propose même des recettes.
La large gamme de son épicerie fine fait également le bonheur des clients avides de produits d’exception. Ainsi que des nombreux touristes qui dévalisent ses rayons ! Car avec ses délicates créations qui allient le beau et le bon, la maison s’impose plus que jamais comme l’un des ambassadeurs culinaires de l’Hexagone.
Découvrez également au 1er étage du magasin l'espace "Le Café" qui vous accueille de 9h à 23h pour des petits-déjeuners, déjeuners et dîners. Vous pouvez également profiter du salon de thé et du bar.
L'Aile ou la Cuisse est un film français de Claude Zidi sorti en 1976.
Cette comédie est l'unique rencontre entre Louis de Funès, de retour au cinéma après avoir subi un double-infarctus, et Coluche, alors en pleine ascension.
Le film traite sur le mode comique d'un problème naissant dans la France des années 1970 : la malbouffe due à la nourriture industrielle
l'histoire montre la rivalité entre la " gastronomie française traditionnelle et de qualité ", ici défendue par Charles Duchemin, directeur du guide Duchemin (rappelant évidemment le guide Michelin, qui récompense les restaurants de qualité), et la nourriture industrielle, dont le fer de lance est Jacques Tricatel (caricature à peine cachée de l'industriel Jacques Borel).
Charles Duchemin, directeur d'un guide gastronomique mondialement connu et qui a l'habitude de tester incognito les restaurants de l'Hexagone, vient d'être élu à l'Académie française. Fervent défenseur d'une gastronomie française
traditionnelle et de qualité, Duchemin s'apprête pourtant à prendre sa
retraite après la parution de la nouvelle édition de son guide et forme
son fils Gérard à cette fin, dans l'espoir qu'il reprenne un jour le
flambeau. Gérard goûte cependant peu les passions de son père et
s'efforce d'animer en secret une petite troupe de cirque.
Quelques jours avant la parution du nouveau guide, Duchemin apprend que l'industriel Jacques Tricatel, PDG d'une chaîne de restauration de nourriture industrielle,
compte racheter un certain nombre de restaurants auxquels le guide
devait décerner des récompenses. Pire encore, Tricatel semble déterminé à
ternir la réputation de Duchemin en le ridiculisant publiquement au
cours d'une émission de télévision.
Bien décidé à défendre ses valeurs, Duchemin va embarquer Gérard contre son gré, dans une ultime croisade contre la malbouffe
Une recette par Pierre-Dominique Cécillon pour Larousse Cuisine
POUR: 4 personnes
PRÉPARATION: 30 min
CUISSON: 30 min environ
Difficulté: facile
Ingrédients:
Pour le caramel : 3 cuill. à soupe de sucre en poudre * 25 g de beurre
Pour la pâte : 80 g de beurre * 150 g de farine * 1 bonne pincée de sel
Pour la garniture : 2 mangues
Préparation
1. Préchauffez le four à 200 °C (therm. 6-7)
2. Faites un caramel au beurre :
Dans une casserole, faites chauffer à feu vif le sucre avec le beurre, jusqu'à ce que le mélange épaississe. Répartissez le caramel au fond des moules à tartelettes.
3. Préparez la pâte :
Dans un saladier, travaillez du bout des doigts le beurre avec la farine et le sel. Ajoutez un peu d'eau pour lier la pâte et travaillez-la jusqu'à ce qu'elle soit lisse. Laissez reposer au réfrigérateur.
4. Coupez les mangues en deux dans la longueur, séparez les moitiés et récupérez la chair autour du noyau.
Épluchez les fruits et coupez-les en tranches.
Répartissez généreusement les tranches de mangue dans les moules, sur le caramel.
5. Farinez le plan de travail.
Sortez la pâte du réfrigérateur et séparez-la en quatre.
Étalez chaque morceau de pâte en disque, à l'aide d'un rouleau.
Recouvrez chaque moule d'un disque de pâte et découpez ce qui dépasse. Enfournez pour 20 minutes.
6. Quand les tartelettes sont cuites, laissez-les tiédir avant de démouler (pâte en-dessous, fruits au-dessus).
Astuce La mangue est un fruit très sucré, c'est pourquoi on ne met pas de sucre dans la pâte.
Conseil Préparez la pâte à l'avance, pour qu'elle tienne bien malgré l'absence de sucre qui donne d'habitude du liant.
250 g de pâte brisée , 15 cl de jus de citron , 200 g de sucre semoule, 3 œufs, 250 g de beurre , le zeste de 1 citron non traité.
Préparation :
1. Préparez la pâte brisée si vous n'utilisez pas une pâte toute prête.
2. Préchauffez le four à 180 °C (therm. 6).
3. Faites cuire la pâte à blanc : étalez la pâte sur 3 mm d'épaisseur et mettez-la dans un moule à tarte de 18 cm de diamètre. Piquez le fond avec une fourchette et posez par-dessus un disque de papier sulfurisé recouvert de noyaux d'abricots ou de légumes secs. Enfournez pour 20 minutes en retirant les légumes secs à mi-cuisson.
4. Dans une casserole, faites chauffer le jus de citron avec le sucre et les œufs. Mélangez, puis ajoutez le zeste de citron. Portez à ébullition sans cesser de fouetter.
5. Dès que le mélange commence à épaissir, retirez la casserole du feu et laissez refroidir pendant 10 minutes environ. 6.Ajoutez le beurre petit à petit dans la casserole en remuant bien pour l'incorporer. 7.Sortez la tarte du four et versez par-dessus la crème au citron. Laissez refroidir avant de servir.
La CGAD ( Organisation représentative des métiers de l'artisanat , du commerce alimentaire de proximité et de l'hôtellerie-restauration ) propose de différents sites , rubriques pour s'informer sur les métiers de l'alimentation en France
Originaire du Pas-De-Calais, il fait ses études au Lycée hôtelier du Touquet puis il part à l’hôtel Matignon, rue de Varenne, durant une année.
Il officie dans d’illustres établissements parisiens où il gravie les échelons un à un : le Plaza Athénée, l’Hôtel Ritz, la maison Prunier et l’hôtel Intercontinental.
Passionné, ambitieux, il aime le travail bien fait et il prépare de nombreux concours. Après le Bocuse d’Or en 2001, il est élu Meilleur Ouvrier de France en 2007, devenant ainsi avec Michel Roth, le deuxième chef en activité au monde à avoir obtenu les deux prestigieuses distinctions.
Il est également Membre de l’Académie Nationale de Cuisine, Membre de l’Académie des Lauréats du Bocuse d’Or, Maître Cuisinier de France et membre du club Prosper Montagné.
Écoutez François Adamski , Chef cuisinier du restaurant Le Gabriel à Bordaux
Flûte ou coupe ? La question divise les amateurs de champagne depuis des générations. Si vous craignez que ce débat aussi vieux qu'un magnum immergé au fond de la Baltique n'empoisonne votre réveillon, sachez que les professionnels ont leur avis sur la question. Pour sommeliers et producteurs, il n'y a pas à hésiter : ce sera sans flûte ni coupe. La flûte est trop étroite : les bulles viennent chatouiller le nez, masquant les arômes. La coupe est trop large, les laissant s'échapper de chaque côté des narines.
Pour déguster le champagne, les professionnels recommandent plutôt un verre à vin, mais d'un genre un peu particulier. Idéalement, ce verre en forme de tulipe est allongé comme une flûte, mais arrondi au milieu. Un verre ovoïdal en forme de ballon de rugby. Car si le champagne est la boisson festive par excellence, c'est avant tout un vin, qui se hume et se savoure comme un autre, les bulles en plus. Pour le Suédois Andreas Larsson, élu Meilleur Sommelier du monde en 2007, "le verre optimal serait une sorte de flûte au corps légèrement plus large et une ouverture étroite pour mettre en valeur le goût et les arômes". "Il y a encore énormément de champagne servi dans des verres qui ne sont pas au niveau", juge-t-il.
Le sommelier des Crayères, restaurant gastronomique à Reims, qui est l'un des meilleurs spécialistes, a mis au point lui-même quatre modèles fabriqués spécialement pour son service depuis cinq ans par une verrerie de la région. Ils "restent inscrits dans l'esthétique d'une flûte, mais se rapprochent des sensations que peuvent apporter des verres à vin", explique Philippe Jamesse.
Lavage à l'éau chaude
Rejetant les formes géométriques de certains verres, il privilégie l'arrondi "qui convient mieux au service du vin en général". Ensuite, il est soucieux de "suivre le cheminement de l'effervescence" qui part du fond du verre, qu'il a voulu pointu en V mais aussi "piqué", c'est-à-dire que la surface n'y est pas lisse, favorisant ainsi l'ascension des bulles en jolies cheminées verticales. La partie médiane est aussi large qu'un verre à vin pour "favoriser les émanations aromatiques" parce qu'une "matière qu'on étire a plus à donner", souligne le sommelier.
Ces arômes ont ensuite besoin d'être "re-concentrés à la surface du nez" en resserrant en douceur le verre. Car il faut savoir que c'est l'effervescence qui transporte ces arômes, en suivant les contours du verre. Par ailleurs les consommateurs doivent les laver à l'eau chaude, sans détergent, pour favoriser de jolies bulles.
Côté restauration, le chef Arnaud Lallement de l'Assiette champenoise, autre table gastronomique rémoise, confirme aussi que "plus ça va, plus on sert le champagne dans des verres à vin" même s'il avoue s'adapter aux attentes de la clientèle comme aux différentes bouteilles. "Pour l'apéritif, ce sont souvent des champagnes vifs qu'on sert dans des flûtes en losange, un peu plus larges au milieu. Mais pour des millésimes anciens ou plus vineux, on peut utiliser des verres à bourgogne, assez larges avec une belle ouverture", précise-t-il.
Depuis une dizaine d’années, restaurants et habitants champenois abandonnent la flûte pour se tourner vers des verres davantage sphériques, à la manière des verres à vins.
« Du champagne dans une flûte droite, ce n’est pas du champagne ! ». Le gérant du « Bistro des Anges » à Reims est catégorique. Dans son restaurant, on ne vous servira jamais du champagne dans une flûte. Exception faite des « flûtes tulipes », qui s’apparentent à de petits verres à vin. « Il faut respecter le champagne ! C’est quand même du vin donc il faut vraiment des verres à vins pour le déguster », assène Jérôme Cailliez, qui précise qu’un récipient sphérique permet de profiter pleinement des arômes du breuvage à bulles. Et il n’est pas le seul. En Champagne, la tendance est aujourd’hui aux verres bombés chez les professionnels du secteur mais aussi chez les habitants.
Quand le sommelier Philippe Jamesse est arrivé dans la région, dans les années 1990, pour prendre son poste au sein du prestigieux domaine Les Crayères à Reims, « la flûte était vraiment partie prenante du service à table », se remémore-t-il. Celui qui est maintenant consultant et dirigeant de « DNA Champagne & Wine », a été l’un des premiers à faire bouger les lignes et à proposer des verres à vin à ses clients à la place des flûtes. Il crée depuis près de dix ans ses propres verres à champagne en lien avec le professionnel du verre Lehmann. « Mais ça a été compliqué de changer cette habitude », reconnaît le sommelier.
L’avantage que présente le verre à vin par rapport à la flûte, c’est avant tout « l’espace qu’on va véritablement donner au liquide », explique-t-il. Ainsi dans une flûte, récipient long et étroit, le gaz carbonique ne va pas bien se disperser, l’effervescence sera très éphémère. « Forcément, s’en voit modifié le goût, la perception, le plaisir, la réalité des choses », énumère Philippe Jamesse. Nous en avons fait l’expérience lors d’une dégustation. Un reportage à regarder dans la vidéo en tête d’article.
Article publié Par Inès de Rousiers sur Le Parisien.fr et que vous pouvez retrouver par ici
En France, depuis le XVIème siècle, l'épiphanie est l'occasion de "tirer les rois". Une fève, cachée au coeur de la galette des rois, permet de couronner symboliquement le roi du jour qui l'aura trouvée dans sa part de galette
Ingrédients pour 8 personnes
- 100g Sucre - 100g Poudre d'amandes -100g Beurre ramolli - 3Oeufs entiers - 2Rouleaux de pâte feuilletée - 1cuil. à soupe Farine - 1cuil. à soupe Rhum ambré
- quelques gouttes d'amande amère liquide
- 1Fève
Étapes de préparation
Préchauffez le four à 180 ° (th. 6)
Dans un saladier mélangez au fouet le beurre avec le sucre. Quand il commence à fondre, ajoutez la poudre d'amandes. Le mélange devient compact. Ajoutez le rhum puis deux œufs. Enfin incorporez une cuillère à soupe de farine. Mélangez bien. Quand la préparation est bien lisse, versez quelques gouttes d'amandes amère (entre 4 et 8 gouttes, selon votre goût).
Sur une plaque à gâteau roulé, déroulez le premier rouleau de pâte feuilletée en laissant le papier sulfurisé dessous. Versez la préparation à l'amande au centre et étalez-la à l'aide d'une spatule en laissant deux centimètres sur les bords. Mettez la fève.
Dans un bol battez l'oeuf restant. Badigeonnez les bords d'oeuf battu à l'aide d'un pinceau de cuisine. Posez l'autre pâte feuilletée sur la galette. Avec une fourchette écrasez les bords de façon à bien sceller les deux pâtes.
Badigeonnez l'ensemble de la galette avec l'oeuf battu pour avoir une galette bien dorée.
A l'aide d'un couteau ou d'une fourchette, faites des dessins selon votre inspiration de façon à très légèrement entailler la pâte pour l'aider à gonfler pendant la cuisson. Le plus simple est de faire des bandes en hauteur puis en largeur.
Enfournez pendant 40 à 45 minutes en prenant soin de ne pas ouvrir le four pendant la cuisson.